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\part*{Remerciements}
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Je tiens particulièrement à remercier \\
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\begin{itemize}
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\item Vicent \textsc{Charvillat}, pour m'avoir donné l'occasion de faire un
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stage intéressant, et pour toute l'aide qu'il a pu me fournir
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\item Geraldine \textsc{Morin}, pour sa disponibilité
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\item Axel \textsc{Carlier}, pour son aide et ses conseils sur les points
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plus techniques
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\item Wei Tsang \textsc{Ooi}, pour ses suggestions souvent pertinentes
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\end{itemize}
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\paragraph{}
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mais je me dois aussi de remercier \\
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\begin{itemize}
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\item Thierry \textsc{Malon} et Émilie \textsc{Jalras}, pour avoir joué le
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rôle de canard en plastique \footnote{\emph{La méthode du canard en
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plastique consiste à expliquer méticuleusement le code source que l'on
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a écrit à un collègue, à un simple passant, ou même à un objet inanimé
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comme un canard en plastique. Le simple fait d'exprimer ses pensées à
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voix haute est censé aider à trouver les erreurs de programmation.
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Comme les réactions de l'interlocuteur ou son niveau de compréhension
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du problème n'ont aucune importance dans ce processus, on peut le
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remplacer par un canard en plastique.} --- Contenu soumis à la licence
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CC-BY-SA 3.0 (\url{http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr})
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Source : Article Méthode du canard en plastique de Wikipédia en
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français
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(\url{http://fr.wikipedia.org/wiki/M\%C3\%A9thode\_du\_canard\_en\_plastique})}
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et plus encore,
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\item Julien \textsc{Fayer}, qui nous a accompagné durant les derniers mois
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de nos stages
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\item Bastien \textsc{Durix},
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\item Vincent \textsc{Angladon}, pour ses visites régulières
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\item David \textsc{Courtinot}, qui m'a fourni un soutien psychologique
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lorsque JavaScript était méchant avec moi
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\end{itemize}
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ainsi que tous ceux qui ont participé à l'étude utilisateur.
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\part*{Conclusion}
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En conclusion, pendant ce stage, nous avons tenté de développé une interface
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permettant à des utilisateurs non-expérimentés de parcourir des scènes 3D. Ce
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système peut s'ouvrir sur d'autres problématiques : nous pourrions par exemple
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utiliser ce genre de recommandation 3D sur des systèmes qui représentent des
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scènes grâce à des images 2D (comme Google Maps par exemple).
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Une autre optique qui pourrait être utile à la suite de ce projet est de
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générer les recommandations automatiquement à partir d'interactions
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d'utilisateurs. On pourrait penser à un algorithme qui détecte les zones que
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les utilisateurs aiment regarder, et placer une recommandation à cet endroit
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pour les futurs utilisateurs (ce qui a déjà été fait dans l'équipe, par Thi
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Phuong Nghiem en 2012).
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Peu avant ce stage, nous avons eu le projet long qui nous a permis
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d'expérimenter les projets d'envergure en groupe, et la façon dont on devait
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les gérer.
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Ce stage, pendant lequel j'ai développé le programme (\emph{plus ou moins})
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seul m'a permis de compléter les expériences que j'avais eu lors du projet
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long. En effet, la plupart des projets étudiants à l'ENSEEIHT sont de très
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petite taille (si l'on devait passer 35h par semaine sur ces projets, je crois
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qu'il n'y en aurait pas un qui durerait plus de trois jours), et on ne se rend
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en fait pas compte que certaines des techniques de gestion de projet que nous
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avons dû mettre en application pendant le projet long sont tout aussi
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importantes dans le cas d'un projet seul.
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Dès nos premiers cours à l'ENSEEIHT, on nous enseignait l'importance des
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commentaires qui rendaient compréhensible un programme à quelqu'un d'autre, ou
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parfois, à soi-même mais dans le futur. Mais sur un projet de quelques jours,
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il est évident que l'on comprendra toujours ce qu'on a fait avant. Cependant
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dès que le projet devient suffisament important, on se rend compte qu'il est
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impossible de maîtriser parfaitement le code d'un bout à l'autre, et que c'est
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là que les commentaires prennent tout leur sens.
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Ce projet a été très agréable pour moi, puisqu'il m'a permis de me consacrer à
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temps plein, et pendant une longue durée, à un programme qui part de zéro.
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Lors d'un projet en groupe, ou d'un sous-projet qui permet de constituer une
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brique d'un plus gros bâtiment, on peut ressentir la fierté d'avoir participé à
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un si grand projet, mais il y a aussi cette sensation qu'au final, l'impact que
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l'on a eu sur ce projet n'est pas si grande que ça. Lors d'un projet fait seul
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(ou en petite équipe), et qui part de zéro, on voit le programme grandir au fur
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et à mesure, ses fonctionnalités s'améliorer, ses bugs se corriger et de
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nouveaux apparaître, et regarder le projet une fois terminé est nettement plus
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flatteur pour l'ego.
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Ce projet n'est en fait pas encore fini : je vais être embauché par l'IRIT en
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tant qu'ingénieur de recherche pendant encore quelques mois, le temps de finir
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les parties qui ne sont pas encore tout à fait finies, avec pour but une
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éventuelle soumission à la conférence MMSys, fin Novembre.
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